Avec l’Asua, les étudiants portent haut les couleurs de l’UA

L’Association sportive de l’Université d’Angers (Asua) compte cette année 344 licencié∙es. Ces étudiant∙es s’entraînent au Suaps toute l’année et se distinguent lors des compétitions régionales et nationales.

Eric Labouret, debout tout à gauche, et les étudiants ont participé aux championnats de France de judo et à la Coupe de France Kyus à Châtellerault le 2 février. « Découvrir ou poursuivre la compétition et offrir un prolongement des pratiques enseignées au Suaps », c’est l’objectif affiché par l’Asua et son président Éric Labouret.

Cette année, l’association comptabilise 344 licencié∙es : un record qui s’explique par deux choses : d'abord les certificats médicaux qui sont désormais obligatoires seulement pour les disciplines dite à risque (boxe, tir sportif, rugby, combat full contact) et ensuite parce que l’accompagnement proposé au quotidien par les encadrant∙es du Suaps encourage cette pratique compétitive. 

Un soutien qui porte ses fruits puisqu’après la qualification de quatre étudiantes aux championnats d’Europe d’aviron à Istanbul début septembre, plusieurs étudiant∙es vont participer à différents championnats de France universitaires (CFU) fin mars. 

Des résultats encourageants

En natation, une quinzaine de nageurs et nageuses représenteront l’UA à Sète (Hérault) du 29 au 31 mars ; en judo Elsa Billard (en 2^e année en Langues étrangères appliquées) a décroché la médaille de bronze lors du CFU 2^e division début février et disputera le titre en 1ere division à Angers du 28 au 30 mars ; en squash, Balthazar Hirardot, champion académique et étudiant en 4e année de médecine, sera lui aussi opposé aux meilleurs joueurs de l’Hexagone avec cinq autres étudiant∙es de l’UA à Lille en avril prochain ; enfin en tir sportif (pistolet et carabine), huit étudiant∙es se sont qualifié∙es pour le CFU les 30 et 31 mars à Andrézieux (Loire) après avoir glané huit médailles (trois or, deux argents, trois bronze) lors du dernier championnat académique.

« Ces résultats sont très encourageants et récompensent l’investissement des étudiant∙es et des encadrant∙es, qui proposent des créneaux spécifiques d’entraînement, précise Eric Labouret. A l’heure actuelle, nous arrivons à assumer le coût des déplacements mais restons vigilants quant à l’augmentation des frais liés au carburant. »