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Les nouveaux doctorants effectuent leur rentrée
Inscrits en 1re année de thèse, les doctorant·es angevins du Collège doctoral des Pays de la Loire se sont retrouvés le jeudi 6 novembre, à la Faculté des sciences, pour une matinée d’accueil et d’informations.

Les doctorants ont pu rencontrer différents acteurs de la vie universitaire.Quelque 90 doctorant·es, répartis dans dix écoles doctorales, ont rejoint cette année le site angevin du Collège doctoral des Pays de la Loire. Plus de 70 sont venus assister à la rencontre proposée le jeudi 6 novembre, sur le campus Belle-Beille. « L’objectif est de pouvoir leur présenter la formation doctorale, leur expliquer le fonctionnement des écoles doctorales, qu’ils puissent connaître les services de l’UA auxquels ils peuvent faire appel, mais aussi qu’ils aient l’occasion de faire connaissance entre eux », explique Nicolas Clere, directeur angevin du Collège doctoral des Pays de la Loire.
Le temps d’information formel organisé dans l’amphi D de la Faculté des sciences, a soudainement été interrompu par une sombre histoire : un jeune doctorant a dénoncé les avances que lui a fait sa directrice de thèse. Il s’agissait d’une mise en scène, interprétée par un acteur et une actrice, membres de la compagnie La Mano-Fica, qui visait à sensibiliser au harcèlement et aux violences sexistes et sexuelles. La prestation, proposée à l’initiative de la Mission Égalité de l’UA, a été appréciée : « C’était très réaliste, témoigne Morgann, qui débute des recherches au sein de l’équipe Immunité innée et cancer du CRCI2NA. Ça change comme présentation. C’était très dynamique ».
Village doctoral
À l’extérieur de l’amphi, une dizaine de stands tenus par des services de l’université ou des associations attendaient les nouvelles recrues. L’occasion de se renseigner sur la politique de science ouverte de l’établissement, son engagement en faveur de la transition énergétique, les futures élections étudiantes, ou bien d’adhérer à l’association des doctorants en sciences humaines et sociales, Aidoc. Thomas, lui, s’est renseigné auprès de la Direction de l’international : « Je suis en cotutelle, entre ici et Magdebourg, en Allemagne. C’est bien, j’ai pu me renseigner sur les possibilités de financement des transports entre les deux sites ».
Pour certain·es, la rentrée s’est prolongée l’après-midi, avec une réunion organisée par leur propre école doctorale.
