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Séparés par des virgules

De l’exercice pour lutter contre la sédentarité

À l’Université d’Angers, étudiant∙es et personnels peuvent depuis septembre dernier pratiquer de l’activité physique de manière ludique grâce à la Station4, développée par l’entreprise angevine Ludhealth. Exemple à la Faculté des sciences ce mercredi 21 février.


Le lancer de cerceaux a été l'un des défis les plus prisés.
Les Jeux olympiques et paralympiques ne débutent que cet été et pourtant, il flotte déjà un parfum de sport à l’Université d’Angers. Deux Station4 ont en effet été acquises par l’IAE Angers et la Faculté des sciences pour lutter contre la sédentarité.

Déjà présents dans des établissements de santé et des centres médico-sociaux, ces équipements mobiles proposent une multitude d’activités dynamiques pour une expérience conviviale et ludique : lancers d’anneaux et de fléchettes, exercices pour se renforcer les bras et l’abdomen, jeux d’équilibre et de rapidité…

Financés, entre autres, par la contribution à la vie étudiante et de campus (Cvec), ils ont été présentés une première fois à l’occasion des réunions de rentrée en septembre 2023 et lors de la Semaine des associations le mois suivant.

Le SSU aussi mobilisé

Mercredi 21 février, la Faculté des sciences organisait ainsi un événement avec la Station4. Dans le hall du bâtiment A, sur le temps du midi, des étudiant∙es et personnels se sont ainsi pris au jeu en se lançant plusieurs défis. « On fait de l’exercice sans s’en rendre compte », apprécie Laure Daviau, chargée de la vie du campus à la Faculté des sciences. Des étudiant∙es relais-santé (ERS) du SSU étaient également de la partie avec un stand de prévention sur l’équilibre alimentaire. 

Pour le SSU, c’est aussi une autre manière de rencontrer les étudiant∙es puisque les ERS ont échangé avec une cinquantaine de leurs camarades. Lors de l’événement de l’IAE Angers le 12 février dernier, c’est environ 80 étudiant∙es qui ont été sensibilisé∙es. « C’est un événement à reproduire à l’extérieur quand il fera beau, nous échangeons d’ailleurs avec l’IAE en ce sens », termine Laure Daviau.

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